Valentine Marchal
Que fais-tu?
J’ai la chance d’allier dans ma vie professionnelle deux domaines qui me passionnent : les langues, et l’audiovisuel. Je fais de la traduction depuis l’anglais ou l’allemand, pour le sous-titrage ou le doublage d’œuvres audiovisuelles. Principalement du documentaire pour la télé, mais aussi de la télé-réalité, ou des œuvres de fiction. Non, ce n’est pas ma voix qu’on entend, mais je suis chargée d’écrire le texte qui sera lu et joué plus tard par des comédiens en studio d’enregistrement. Outre la traduction, mon travail consiste aussi beaucoup et surtout en une adaptation du texte que j’ai traduit. Pour le sous-titrage, il faut en effet que le texte soit court et concis pour que je puisse le caler sous l’image, et qu’il reste lisible et intuitif. Pour le doublage, je dois adapter ma traduction pour qu’elle corresponde aux mouvements des lèvres des personnages à l’écran. C’est fascinant, je vous aurai prévenus !
Pourquoi le coworking?
À mon retour sur Lyon après quelques années passées à Nice, puis à Paris, j’ai eu besoin de voir de nouvelles têtes, et de sortir un peu de chez moi. À force de travailler à la maison, j’avais fini par ne plus avoir aucun horaire, ce qui me privait bien souvent d’une vie sociale épanouie. J’avais besoin d’un cadre, et d’un nouveau lien social. Le coworking me permet de me fixer des horaires plus précis (et moins aléatoires), avec la motivation d’arriver le matin, de partager un café avant de me mettre au boulot, de discuter autour du déjeuner à midi, et parfois de clore la journée de travail par un petit apéro sympa entre coworkers. Accessoirement, je travaille aussi plus efficacement entourée d’autres travailleurs, et de jolies collaborations voient parfois le jour dans ce cadre convivial.